N'ayant pas lu le document et n'étant pas de votre région je n'ai pas d'avis sur les faits eux mêmes, n'étant également pas un spécialiste du droit, je ne vous donnes qu'un simple avis "citoyen"

Si un blogeur (restons dans le domaine du blog) ramasse un tract dans la rue ou dans sa boite au lettre, et le publie du simple fait qu'il était public, il prend un risque. Si ce texte est diffamatoire, qu'il y a une plainte et que le tribunal juge le texte diffamatoire... Le blogueur sera condamné, comme n'importe quel directeur de publication

Entreprendre une action en justice dans un pays démocratique dit de droit ne peut être en soi un acte critiquable, puisqu'il est le moyen, choisi pour arbitrer un différent, une justice indépendante faisant appliquer la loi. Dans ce cas, s'il n'y a pas diffamation, c'est la personne ayant entrepris la procédure qui sera condamnée. C'est, il me semble le cas, de Christophe de Puteaux.

Ceci dit un Etat de droit équitable ce n'est jamais gagné et comme le fait remarquer Christophe, il peut y avoir une volonté d'intimidation du "plus fort", c'est en quelque sorte l'histoire du pot de fer contre le pot de terre, cela montre les limites de la réalité de l'équité. C'est ce qu'essaie de contrer "la piquouse" en appelant les blogueurs à un soutien de principe.

Puisque nous ne sommes pas dans un "Etat de droit" exemplaire, mais seulement toujours en devenir, qu'il nous reste "un peu, beaucoup, passionnément" de la rage de nos origines, soutenons nos collègues blogueurs par principe et attendons sereinement le jugement du tribunal.